jeudi 2 septembre 2010

MILITER POUR LE PNSF

Notre progression et la victoire dépendent de notre détermination dans la lutte, de notre formation idéologique et physique, mais surtout de la capacité de chacun à s’investir et répandre le message. « Le dilettante n’est pas un militant. » Devenir un militant relève d’un acte de foi, non circonstanciel. On est militant ou on ne l’est pas. On prend ses responsabilités et l’on assume ses actes jusqu’au bout ou alors on demeure un observateur.



Le militantisme National Socialisme Français ne tolère pas la demi-mesure et ne doit plus supporter le poids des poseurs, tout juste capables au cours des meetings et manifestations d’exercices répétés, tantôt d’autosatisfaction, tantôt d’auto-flagellation… Entre les « Nous les justes sommes les plus beaux et les plus forts du monde » et les « Nous n’arriverons jamais à rien », entre l’aveuglement et la résignation, il y a le militantisme, le militantisme au quotidien avec ses peines et ses joies.



Militer c’est d’abord, en dehors de toute structure, développer autour de soi un réseau de sympathies. Faire connaître nos idées en prêtant un livre, en faisant écouter un disque de rock nationaliste, en conviant à une réunion… Le militantisme ne se limite pas aux collages et tractages ô combien nécessaires d’ailleurs.



Montrer pour convaincre : faire remarquer les rapports de force dans les transports en commun (quand la majorité devient la minorité), parler sur le lieu de travail de l’actualité, des médias, agir et diffuser dans les activités associatives et sportives, etc. Car toutes les activités sociales sont un terrain d’action et de propagande pour le militant.



Le militantisme ne se résume pas à sortir drapeaux et insignes pour les défilés, à repasser son plus beau treillis pour aller coller. Militer c’est, tous les jours, montrer que l’on peut s’habiller comme tout le monde sans posséder les idées de cette masse avachie.



A fortiori lorsque la répression antinationale-Socialiste se durcit, est-il bien raisonnable de s’afficher avec ces signes extérieurs encore trop prisés de notre jeunesse en quête d’affirmation personnelle ? Plus que jamais, la discrétion est synonyme d’efficacité. Elle permet l’infiltration et le renseignement. Elle garantit l’anonymat des actions dans une zone donnée et handicape largement police, justice et groupes ennemis. Le militantisme n’est pas une mode. Il est une mission guidée par un idéal. Aussi, seul l’accomplissement de sa mission permet de s’en dégager avec honneur. Alors conjuguons nos forces pour triompher !



Notre combat est légitime et légal.


Nous combattons politiquement et culturellement pour notre communauté et notre identité.

Mais ce combat n’est pas une vaste plaisanterie ou un jeu. Il en va de notre survie. Notre mouvement prendra sa vitalité dès lors que chaque combattant se pénètrera d’un esprit, dès lors que chacun prendra conscience de sa mission c’est-à-dire qu’il sera prêt à adopter un certain comportement en accord total avec les idées qu’il prétend défendre, que chacun assume son propre destin et ne se laisse plus séduire par quelques meneurs douteux quant à leur éthique, leur mentalité et leurs objectifs, voire pire leurs mœurs.


Autodiscipline

Apprenez à être modéré, mesuré en apparence. Recherchez la voie médiane, évitez l’excès. Soyez des exemples. Partout où vous passez, que l’on se souvienne de vous en positif. Bannissez définitivement tous les comportements qui nuisent à notre image et ralentissent notre progression. Laissez les folkloriques de tous bords, avec leurs jeux puérils, s’amuser entre eux dans leur ghetto.


Silence

N’informez personne qui n’ait besoin de savoir. Ne faîtes confiance à personne. Que personne ne sache s’il n’en a besoin. Que personne ne sache plus tôt qu’il n’est besoin. Essayez d’écarter les bavards, les langues déliées, au moins écartez-vous d’eux.


Discrétion

Un combattant efficace est un combattant camouflé. Soyez un caméléon, passe-partout, à la mode dans les endroits risqués, adoptez les accoutrements de l’ennemi pour l’infiltrer, gagner sa confiance et ne pas éveiller les soupçons. Dans les conversations, prenez le parti d’un des contradicteurs puis faîtes glisser la conversation lentement sur vos sujets de prédilection : immigration, lobbies… Soyez malins, sympathiques, n’arrivez pas avec vos gros sabots et vos lourdes plaisanteries.


Travail

Que faîtes-vous pour défendre la cause, promouvoir nos idées ? Etes-vous absolument sain, physiquement, mentalement, moralement ? Faîtes des efforts pour progresser dans tous les domaines plutôt que de choisir la facilité, l’oisiveté et la passivité.


Responsabilité

Soyez des chefs, des acteurs plus que des suiveurs. Prenez les affaires en main, opérez des choix, prenez des initiatives, des décisions et assumez-les, mais, en pesant la portée de vos actes. Soyez responsables vis-à-vis du groupe. Ne menacez pas son existence et sa capacité d’action par des comportements personnels instinctifs et irréfléchis.


Lucidité

Evitez les impasses, prévoyez, ne prenez pas de risques inutiles, soyez extrêmement prudents, n’écoutez pas le chant des sirènes, ne vous laissez pas emporter… Posez un regard froid et détaché sur toutes choses. Soyez lucides c’est-à-dire méfiants, soyez toujours sur vos gardes, prêts à la légitime défense radicale. Ne tombez pas dans la paranoïa mais soyez conscients que l’œil du système, Big brother, vous suit.


Sincérité

Soyez honnêtes, loyaux avec vos proches et vos camarades de combat, mais sans foi ni loi avec les autres. Ne décevez pas vos camarades, si vous n’êtes pas sûrs de pouvoir accomplir une mission, n’en prenez pas la charge. Les imprécisions et les improvisations mènent souvent à des échecs voire des catastrophes.


Sérieux

Ecartez les poseurs, les provocateurs, les phraseurs, les clowns, les poltrons, les mythomanes, les magouilleurs et les voyous. Beaucoup de monde… car tôt ou tard, ils vous nuiront. Ils travaillent pour le système, avec ou sans rétribution… Nos missions doivent être confiées à des personnes déterminées, saines extérieurement et intérieurement.


Efficacité

Allez à l’essentiel, au plus profond des choses, bannissez le superficiel, le superflu. Pesez le pour et le contre de vos actions. Ne vous engagez pas à l’aveuglette. Cherchez l’impact maximum le plus large possible. Un livre lu, un sport pratiqué : c’est un combattant entraîné, confiant, cultivé, formé, déterminé qui devient capable d’argumenter, de répondre aux questions, de réagir aux critiques, aux dénigrements, capable de diffuser nos idées.


Sacrifice

Servez sans chercher un quelconque intérêt. Prenez conscience que vous œuvrez pour une communauté de pensée et d’action. Votre travail personnel bénéficie toujours au groupe et le renforce dans sa capacité d’action. Au-delà du groupe, vous agissez pour votre descendance. Vous n’êtes qu’un maillon dans une grande chaîne, mais plus forts seront les maillons, plus longtemps tiendra la chaîne. Si vous démissionnez, personne ne prendra le relais, vous êtes un lâche.


Santé, hygiène de vie

Faîtes travailler votre corps et respectez-le autant que votre cerveau. Pratiquez une activité régulière qui permette l’épanouissement corporel, le développement musculaire, le durcissement moral et la maîtrise mentale. Apprenez à votre corps à triompher de l’effort physique et à votre âme à ne pas redouter la douleur. Respectez certains principes d’alimentation. Evitez de fumer et de boire. Mangez sain et équilibré. Bannissez les excès trop fréquents.


VOUS POUVEZ LE FAIRE !


Tout dépend de combien vous êtes, de votre âge, de votre ville. Mais quelle que soit les conditions, non seulement vous devez agir mais de plus vous pouvez agir.

1ère hypothèse : vous êtes seul ou deux/trois dans une commune de moins de 50 000 habitants. La priorité est d'assurer une présence National-socialiste, de "marquer" le territoire. Comment faire ? La meilleure manière reste l'autocollant. 500 autocollants collés sur une même zone, ça ne passe pas inaperçu. Où agir ? En priorité, là où sont les gens : centre-ville, centres commerciaux, abords de lycées, campus. Inutile de vous embêter à faire tous les quartiers. Il faut concentrer vos efforts et non les disperser. Attention !!! Le feu de paille est inutile. Coller 200 autocollants en une semaine puis ne plus rien faire pendant six mois, ce n'est pas de l'action politique. C'est de la crise d'adolescent. Vos autocollants doivent être régulièrement "entretenus". Le gauchiste et les juifs se lasseront avant vous. Dans les coins, où vous êtes particulièrement arrachés, amusez-vous à coller vos autocollants très bas (par exemple, au bas d'un poteau) et non plus à hauteur de visage. Pour vous, ca ne change pas grand chose. Le passant verra presque aussi bien, voire mieux, car son attention sera attirée davantage (selon la couleur de l'autocollant). En revanche, les gauchistes et les juifs devront se mettre accroupi pour vous arracher. L'expérience a prouvé qu'après deux accroupissements, pose ridicule, et qui ne passe pas inaperçue, "l'arracheur" se décourage et abandonne. Il existe d'autres moyens de préserver l'intégrité physique de vos autocollants. Troisième Voie collait des lames de rasoirs derrière les précieuses affichettes. Résultat garanti. Mais c'est illégal. Nous comptons donc sur vous pour surtout ne pas le faire...

2ème hypothèse : vous formez déjà un petit groupe militant appeler « Cellule ». Vous êtes plus de cinq. Vous pouvez faire comme dit ci-dessus mais, en outre, vous pouvez mener des actions "visibles". Tractage de lycée, de Macdo... Vous pouvez aussi choisir un quartier et le déclarer « zone National Socialiste ». Pour ce faire, vous avertissez par bombage que tel quartier est dorénavant "zone National Socialiste ". Dans ce périmètre, aucune affiche et autre, gauchiste, concert rap etc ne doit tenir plus d'une demi-journée. En revanche, votre propagande doit, elle, s'étaler sur les murs en toute impudeur. Of course, il est vivement recommandé de ne se lancer que si l'on se sent assez fort. Afin de ne pas sombrer dans le ridicule, la "zone" doit quand même comporter plusieurs rues... En général, on choisit le quartier où se trouve le "bar faf" de service...

Bien sûr, il ne s'agit là que de suggestions. Bien d'autres choses sont possibles. Encore faut-il agir ! Il faut vous fixer des objectifs à court terme et les atteindre. Soyez de vrais militants NR [ou autres bien évidemment]. Laissez les comptoirs de bistrot aux autres, les histoires de "baston" aux bavards. Agissez ! Descendez sur le terrain ! Nos idées n'existent pas si elles ne sont pas "visibles" par nos compatriotes.


DONNEZ LA PAROLE AUX MURS !


Il existe un moyen peu onéreux et assez spectaculaire de signaler une présence du National-socialiste Français : le bombage. Interdit lorsqu'il s'agit de bombe de peinture, il reste possible si l'on utilise du blanc d'Espagne. C'est donc dans ce cadre légal qu'il faut bien sûr lire les lignes qui suivent.

Pour qu'un bombage soit efficace, il faut obéir à quelques règles précises.

D'abord, il faut choisir le lieu avec soin. Un pont d'autoroute, un mur le long d'une voie ferrée, d'une ligne de bus ou de tram conduisant à une faculté, l'entrée d'une bibliothèque universitaire, bref, il faut cibler les points par lesquels transitent chaque jour des milliers de personnes. Inutile donc de couvrir d'inscriptions une ruelle de votre village. Il faut également ne pas décrédibiliser notre cause : laissons les murs des wc de facultés ou de gare aux homorastes... Ensuite, il convient de choisir avec soin le slogan. On peut les diviser en deux catégories : les bons et les mauvais. Les mauvais, c'est simple, c'est tout ce qui n'est pas politique (appel au meurtre, private joke, nostalgie...). Les bons, c'est tout ce qui est politique ou bien signale notre présence (emblème du parti avec nom du mouvement). Un bombage ne se fait pas à dix. Il convient d'être discret.

Un guetteur suffit. De même, inutile d'attirer l'attention en revêtant une panoplie de faf. Les bonnes heures pour le bombage sont plutôt celles de l'aube durant laquelle la surveillance policière est plus réduite. Si vous êtes particulièrement maladroit ou bien si vous avez quelques qualités artistiques, vous pouvez utiliser des pochoirs. Le résultat sera plus soigné mais forcément moins spectaculaire. Pour conclure, dans ce type d'action comme pour les autres, il est nécessaire d'entretenir le terrain. Un bombage annuel ne sert à rien. Une dizaine d'inscriptions à des endroits stratégiques convenablement entretenus voila l'objectif minimal pour un groupe nationaliste.


PNSF